Nous nous interrogeons sur certains choix techniques, esthétiques et économiques comme celui de créer deux places de stationnement en sortie de rond-point au pied du pont ! Ou encore de la voie cyclable couteuse avec sa grosse rambarde en bois, de l’aménagement de la place A.Briand, qui ne permet plus le marché, ou encore des pavés du square Pasteur incompatibles avec les mobilités réduites…

Ces exemples mettent en évidence des choix discutables qui pourraient être évités avec un dialogue constructif. Nous constatons cela aussi à plus grande échelle en urbanisme.

Malgré nos propositions alternatives, les dégâts sont commis,  il est trop tard… Les ventes opportunistes de maisons et terrains ne suffiront pas à payer la promesse surprise du second terrain de foot, projet dont nous étions promoteur, contrairement à ce qu’affirme notre maire dans son dernier édito, mais pas sur ce type de financements courtes vues.

Le risque majeur se situe dorénavant sur les deux anciens sites de l’école privé !

Etant donné l’enjeu, nous plaidons en faveur d’une conduite de projet plus ouverte et plus concertée qui laisse le temps d’intégrer des réflexions importantes d’aménagement global, de contenu de programme ou encore de conservation du patrimoine bâti. Non par attachement affectif ou par intérêt architectural, mais tout simplement parce qu’il faut veiller à ce que notre commune ne perde pas toute son histoire.

Malheureusement, et même si l’écoute s’améliore un peu, il faut encore aller vite, vite, vite !…

Pourquoi si vite, si seuls, si près d’une fin de mandat…